PARLER D'AMOUR
http://www.radiofrance.fr/franceinter/em/ete/parlerdamour/index.php?id=70560
La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.
Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,
Parfums éclos d'une couvée d'aurore
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leur regards.
Paul Eluard
Marie-Pierre Planchon [http://blondalouest.over-blog.com/article-14343794.html]-sur France Inter- a interviewé Ivan Levaï dans l'émission du dimanche "Parler d'amour".
dimanche 31 août 2008
Ivan Levaï n'est pas homme à vivre sans amour.
C'est à Radio France, qu'il a rencontré il y a quinze ans Catherine, la dernière femme de sa vie, "comme il dit" ...
Arouna Lipschitz
Docteur ès lettres, sémanticienne, ancien professeur de yoga, chercheur en psychanalyse et en kabbale, écrivain, Arouna Lipschitz enseigne la « voie de l'amoureux » dans les séminaires qu'elle anime : une sagesse de l'amour, une philosophie de la relation et est membre fondateur de l'OEE (Objectif Ethique et Education), une organisation internationale qui vise a promouvoir une éducation à 1'éthique.www.arouna.com...................................
A 20ans le cœur se brise - A 30 et à 40 le cœur se bronze - d'expérience en expérience et d'amour en amour, on se burine, on s'arme et on perd cette fraîcheur........On perd ses illusions et on doute de la rencontre et je vous dirais même y'a des gens qui l'évite parce qu'ils ont peur !
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A quoi ça sert l'amour ?
L'amour ça sert à vivre.
(Ivan Levaï)
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Départs
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Sur le quai d'une gare on agite la main
Avant de s'engouffrer dans un train
On prend une photo on sourit
Et de tout en haut de son ego
On se maudit on se raidit on plie
Et encore on sourit
Sur ce marche pied encombré
On comprend que c'est fait
Plus jamais.
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La petite si petite s'agite
Des crayons de couleurs des trousses des cahiers
On monte et on descend l'escalier
Les mèches virevoltent
Tout est prêt les valises sont bouclées
Brumeuse
La nuit lourde et nerveuse
Le petit matin appelle au lever
L'auto se gare devant le terminal
Passer la porte
le dos courbé les épaules rentrées
Un baiser sans te retourner
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L'amour est dangereux
Tu riais je riais
Mon dieu qu'est ce qu'on riait
Plus bruns que le brun de tes yeux
Rien de mieux que tes yeux
Le temps passait ce temps si gai
On riait sans donner
Le temps est passé
Faiblement sans tollé
On s'est éloigné on a louvoyé
Raccrochés à des branches sacrées
Qui aussi ont ployé.
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